« Les périodes de crise sont vectrices de doutes. Je ne ferai donc pas de prospectives hasardeuses ou de prévisions marché. Je me contenterai de réaffirmer ce qui me semble essentiel dans ce contexte : fournir un travail « sur-mesure ». En effet, les incertitudes actuelles confortent notre doctrine chez CEI, mais elles impliquent également une adaptation sur plusieurs aspects. D’abord « méthodologique », afin d’appréhender plus finement la valeur sur le long terme et de manière multicritères, il faut utiliser des méthodes par le revenu (DCF, Capitalisation). Par nature, la « comparaison » reflète un passé révolu et ne traduit que peu le présent ou l’avenir. Il demeure toutefois primordial de croiser les méthodes. Cette adaptation est également « financière ». Dans le futur, la prime de risque devra faire l’objet d’une attention toute particulière. L’anticipation des risques, les futurs défauts locataires et l’accélération de la flexibilité offerte par les modes de travail (baux courte durée, coworking), devront être impactés et justifiés, dans les taux de rendement et capitalisation. Dans cette conjoncture, gardons-en tête de rassurer nos clients par notre capacité à nous adapter rapidement aux évolutions du marché. »